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Cabri
Bio
Suisse
Précommande : Hiver
Cabri entier élevé selon les normes de l'agriculture biologique à St. Antönien dans le Prättigau. Le paquet contient :
- 2 gigots avec os
- 2 épaules avec os
- Carré
- Ragoût avec os
- Foie
- Rognons
Quand ma livraison arrivera-t-elle ?
À l'exception des articles pour lesquels une date de livraison précise est indiquée, nous expédions votre produit en précommande dans le courant du mois mentionné. Vous trouverez des informations hebdomadaires sur notre page Dates de livraison. Dès que votre colis est en route, nous vous en informons par e-mail.
| Arrivée de la livraison | Commande jusqu'au : |
|---|---|
| 19.12.2024 | 30.03.2025 |
Utilisation & préparation
Mode & durée de conservation
Conservez tous les morceaux de viande dans leur emballage d'origine dans l'étagère la plus basse du réfrigérateur. Les abats se conservent jusqu'à 2 jours. Les tranches de viande se conservent au réfrigérateur pendant environ 7 jours, les gros morceaux jusqu'à 10 jours. Les morceaux non ouverts peuvent également être congelés et conservés pendant plusieurs mois. Pour décongeler la viande, placez-la dans son emballage dans de l'eau froide ou conservez-la au réfrigérateur pendant une ou deux nuits. Lors de la décongélation au réfrigérateur, laissez la viande reposer à température ambiante pendant au moins 1 heure avant de la cuire.
Numéro d'identification :
Abattoir de Furna : CH 70148194
Bardill : CHE 111.343.580
Bärtsch : CHE 141.258.513
Clavadetscher : CHE 111.560.462
Engel : CHE-110.679.327
Egli-Brühlmeier: CHE-111.343.901
Mathis : CHE 345.975.282
Turner : CHE 389.907.185
Tarnutzer : CHE 116.196.719
Werder : CHE-140.232.959
Abattoir de Furna : CH 70148194
Bardill : CHE 111.343.580
Bärtsch : CHE 141.258.513
Clavadetscher : CHE 111.560.462
Engel : CHE-110.679.327
Egli-Brühlmeier: CHE-111.343.901
Mathis : CHE 345.975.282
Turner : CHE 389.907.185
Tarnutzer : CHE 116.196.719
Werder : CHE-140.232.959
ADRIAN WERDER
AGRICULTEUR DE SANKT ANTÖNIEN, SUISSE
Ma priorité : le respect de l’animal et de la nature.
"Chez nous, les quatre membres de la famille travaillent sur l’exploitation; même le plus jeune est tous les jours à l’étable", explique Adrian Werder. En raison de sa situation dans les montagnes grisonnes, la famille Werder n’a pas de champs, mais élève uniquement des vaches et des chèvres. Ce qui inquiète le plus la famille, c’est la pression exercée sur l’agriculture et l’absence de lien entre les consommateur·ice·s et cette dernière. "Beaucoup de gens ne sont pas prêts à payer un prix plus élevé, car ils n’ont aucune idée de tout ce qu’il faut faire pour qu’une denrée alimentaire soit prête à la vente."
À déguster avec :
